Casque moto femme : comment choisir le bon modèle selon votre morphologie et votre style ?

Choisir un casque moto femme ne se résume ni à une question de couleur ni à une envie de motif floral. Entre la morphologie casque, la forme du crâne, le type de moto et le style de conduite, chaque détail a un impact direct sur la sécurité moto femme et le plaisir de rouler. Un casque trop lourd ou mal ajusté fatigue la nuque, génère des points de pression et peut même tourner en cas de chute. À l’inverse, un modèle bien choisi devient presque invisible, même après des heures de route. Les femmes motardes jonglent souvent entre trajets urbains, balades du week‑end et parfois piste ou longs road trips ; le bon équipement doit suivre ce rythme sans compromis.
Les fabricants ont compris ces attentes et proposent désormais des lignes spécifiquement pensées pour les utilisatrices : calottes plus fines, intérieurs ajustables, design casque moto varié, finitions mates ou brillantes, visières solaires intégrées, compatibilité intercom… Pourtant, l’abondance de références rend parfois le choix déroutant. Faut‑il privilégier un intégral sportif, un modulable polyvalent, ou un jet léger pour la ville ? Comment être sûre que la taille casque moto est correcte, surtout avec des cheveux longs ou bouclés ? Et comment concilier un modèle casque femme élégant avec un niveau de protection irréprochable ? Cet article détaille pas à pas les critères essentiels pour choisir casque moto avec lucidité, en s’appuyant sur des exemples concrets et les retours d’utilisatrices.
En bref :
- ✅ Prendre en compte sa morphologie : tour de tête, forme du crâne, cou, port de lunettes, cheveux longs… tout influence le choix du casque.
- 🛡️ Prioriser la sécurité moto femme : choisir une homologation reconnue (ECE), une bonne couverture du visage et une coque de qualité.
- 🎯 Viser un confort casque moto durable : poids maîtrisé, ventilation efficace, mousses adaptées à la forme du visage.
- 👗 Assortir le style casque moto à sa personnalité : couleurs, graphismes, finitions, mais aussi type (intégral, modulable, jet).
- 📏 Ne jamais négliger la taille casque moto : mesure précise du tour de tête, essayage minutieux, stabilité lors des mouvements.
- 🛍️ Comparer les modèles : essayer plusieurs marques, lire les avis, vérifier les accessoires moto femme utiles (écran solaire, pinlock, intercom).
Casque moto femme : comprendre l’impact de la morphologie sur le choix du modèle
La plupart des difficultés rencontrées lors du choix d’un casque moto femme viennent d’un point souvent sous‑estimé : la morphologie. Deux motardes avec le même tour de tête peuvent avoir des sensations complètement différentes dans un même casque. La répartition du volume (front plus ou moins bombé, mâchoire fine ou marquée, pommettes saillantes) conditionne le maintien. C’est ici qu’intervient réellement la notion de morphologie casque, encore trop peu expliquée dans les fiches produits.
Les marques conçoivent leurs calottes sur des “formes de tête” types : plutôt ronde, ovoïde, ou intermédiaire. Certaines femmes se reconnaissent dans des formes jugées “unisexes”, d’autres, au contraire, se sentent mieux dans des modèles dits féminins, où les mousses latérales sont légèrement plus denses et où la zone des joues est mieux épousée. Un casque adapté doit serrer de façon homogène, sans écraser les tempes, ni laisser un jeu excessif sur le front. Si le casque tourne lorsque la tête est secouée, la protection est compromise.
Un exemple parlant est celui de Léa, 1m58, fan de road trips. Le premier casque essayé était à la bonne taille sur le papier, mais créait une forte pression sur le front après 30 minutes. En passant à une autre marque, plus adaptée aux têtes plutôt ovales, la différence a été immédiate : plus aucune douleur, un maintien ferme mais confortable, et une meilleure isolation phonique. L’illustration est claire : pour bien choisir casque moto, le tour de tête ne suffit jamais.
Le cou et la carrure jouent aussi un rôle non négligeable. Une motarde de petite taille, avec un buste fin, aura davantage de mal à supporter un casque lourd, notamment un modulable haut de gamme. La fatigue des cervicales se fait sentir plus vite, surtout à vitesse soutenue ou par vent fort. À l’inverse, une conductrice plus grande et athlétique trouvera acceptable un poids que d’autres jugeraient excessif. Le poids annoncé en grammes doit donc être interprété en fonction de sa propre morphologie et de son niveau de forme.
Les cheveux constituent un autre élément clé. Les casques pensés pour les femmes prévoient parfois un volume intérieur légèrement différent pour accueillir une queue de cheval basse ou des cheveux épais. Une coiffure changeante (chignon un jour, cheveux lâchés le lendemain) modifie la sensation de serrage. Pour garder un repère fiable, il est judicieux de choisir une coiffure “de base” pour l’essayage, généralement la plus fréquente au quotidien. Un casque qui ne rentre que si l’élastique est déplacé n’est pas idéal.
Enfin, le port de lunettes, de correction ou de soleil, mérite une attention particulière. Certains intérieurs prévoient des gorges spécifiques pour les branches, ce qui évite les douleurs derrière les oreilles au bout de quelques kilomètres. Une motarde qui roule beaucoup de nuit ou par toutes saisons a tout intérêt à vérifier ce point lors de l’essayage, surtout si elle alterne lunettes de vue et écran solaire interne.
En résumé, plus la morphologie casque est prise en compte finement, plus le casque disparaît de la conscience pendant la conduite, laissant toute la place au plaisir et à la concentration sur la route.
Mesurer correctement sa tête pour une taille de casque parfaitement adaptée
Pour trouver la bonne taille casque moto, il est recommandé d’utiliser un mètre ruban souple et de le placer environ un centimètre au‑dessus des sourcils, en passant par l’arrière du crâne, au niveau le plus large. Cette mesure, en centimètres, correspond à la taille de base à rechercher dans le guide du fabricant. Un 56 cm n’a cependant pas toujours la même sensation d’une marque à l’autre, d’où l’importance d’essayer.
Lors de l’essai, plusieurs petits tests simples permettent de vérifier le bon maintien :
- 🌀 Bouger la tête de gauche à droite et de haut en bas : le casque ne doit pas basculer ni glisser.
- ✋ Tenter de le retirer sans ouvrir la jugulaire : il ne doit pas s’enlever, mais sans générer de douleur excessive.
- 😬 Mimer des expressions du visage (sourire, parler) : les joues peuvent être légèrement comprimées, sans gêne respiratoire.
Un casque neuf paraît toujours un peu serré ; les mousses se tassent après quelques heures d’utilisation. Si, dès le départ, il est “parfaitement confortable” mais très facile à retirer, c’est souvent le signe qu’il est trop grand. Une motarde expérimentée n’hésitera pas à rester quelques minutes avec le casque en magasin pour détecter d’éventuels points de pression au niveau du front ou des oreilles.
La bonne taille est celle qui allie maintien ferme et absence de douleur : la base d’un confort casque moto fiable sur la durée.
Types de casques moto pour femmes : intégrer style, sécurité et usages au quotidien
Une fois la morphologie prise en compte, le deuxième grand choix concerne le type de casque. Chaque architecture présente des atouts et des limites, à évaluer selon l’usage principal. Une citadine roulant en scooter ne choisira pas forcément le même modèle casque femme qu’une adepte de road trips alpins. L’enjeu consiste à trouver le bon compromis entre sécurité moto femme, praticité et style casque moto.
Le casque intégral reste la référence en matière de protection. En couvrant entièrement le visage et le menton, il limite les risques de blessures en cas de choc frontal ou de glissade. Sa forme fermée améliore également l’isolation phonique et la stabilité à haute vitesse. De nombreuses sportives ou grandes voyageuses ne jurent que par ce format, même en ville. Ses limites ? Une sensation parfois plus claustrophobe, un poids légèrement supérieur à certains jets, et une aération qui dépend fortement de la qualité de la ventilation intégrée.
Le casque jet, très prisé en milieu urbain, mise sur la légèreté et l’ouverture. Parfait en été pour profiter de l’air libre, il offre un champ de vision très large et permet de se faire entendre plus facilement à l’arrêt. En revanche, il protège peu le menton et le bas du visage. C’est un choix envisageable pour des trajets courts, à vitesses modérées, ou comme second casque pour des balades tranquilles. Pour compenser partiellement ses limites, certains jets haut de gamme disposent d’écrans longs descendant bas sur le visage.
Entre les deux, le casque modulable séduit les motardes polyvalentes. Sa mentonnière relevable permet de passer d’un mode “intégral fermé” à un mode “ouvert” pratique à la station‑service, pour parler ou simplement respirer davantage. Très apprécié lors de longs voyages, il simplifie aussi la vie de celles qui portent des lunettes. En revanche, la mécanique de la mentonnière ajoute souvent du poids et demande une bonne habitude de manipulation pour rester sécuritaire (bien vérifier le verrouillage en position fermée avant de rouler).
Certains fabricants proposent également des casques dits “adventure” ou “trail”, combinant visière longue, écran transparent et parfois lunettes internes. Ce type de casque attire les motardes qui alternent route et chemins. Plus volumineux, il demande cependant une certaine habitude et un réglage soigné pour ne pas souffrir de remous aérodynamiques.
Pour y voir plus clair, un tableau comparatif aide à situer les forces et faiblesses de chaque format pour une utilisatrice :
| Type de casque 🚲 | Atouts principaux 🌟 | Limites à connaître ⚠️ | Profil de motarde idéal 👩🦰 |
|---|---|---|---|
| Intégral | Protection maximale, bonne insonorisation, stabilité à haute vitesse | Moins pratique à l’arrêt, peut sembler chaud en été | Routière, sportive, adepte de longs trajets |
| Modulable | Polyvalent, pratique avec lunettes, idéal pour les voyages | Plus lourd, mécanique à entretenir | Motarde polyvalente ville/route, voyageuse |
| Jet | Léger, très aéré, champ de vision large | Protection du menton limitée | Citadine, scooter, petites vitesses |
| Adventure / Trail | Polyvalent route/chemin, visière longue, look baroudeur 😎 | Plus volumineux, sensible au vent | Adepte de chemins, voyages hors des sentiers battus |
Une motarde qui démarre en 125 pour des trajets domicile‑travail pourra débuter avec un intégral bien ventilé ou un modulable homologué en position fermée. Celle qui roule surtout l’été en bord de mer choisira peut‑être un jet qualitatif, avec écran couvrant et lunettes solaires, tout en gardant à l’esprit que ce compromis de sécurité suppose une conduite adaptée.
Au‑delà de la forme, chaque type de casque se décline dans des univers visuels très différents : uni sobre, motifs graphiques, inspirations racing ou vintage. La variété actuelle permet d’affirmer un véritable style casque moto sans sacrifier les exigences techniques.
Homologations, matériaux et technologies : la base de la sécurité moto femme
Avant de tomber sous le charme d’un motif ou d’une finition, un point reste non négociable : l’homologation. En Europe, la norme à rechercher est l’ECE, mentionnée sur une étiquette cousue à la jugulaire ou à l’intérieur du casque. Elle garantit que le modèle a passé une série de tests de chocs, de résistance de la jugulaire et de champ de vision.
Les matériaux utilisés pour la calotte jouent aussi un rôle majeur. Les coques en polycarbonate sont souvent plus abordables, avec un poids correct. Les composites (fibre de verre, fibre de carbone, mélanges) offrent un meilleur rapport résistance/poids, très apprécié des motardes sensibles de la nuque. Les mousses internes haute densité, parfois multi‑densités, répartissent mieux l’énergie d’un impact. Ces éléments combinés font la différence entre un simple “couvre‑chef” et un véritable équipement de sécurité moto femme.
Les technologies embarquées se sont multipliées : écrans anti‑brouillard, visières solaires internes, pré‑équipement intercom, aérations réglables. Chaque ajout doit être évalué en fonction de l’usage. Une conductrice qui roule toute l’année appréciera un écran préparé pour film antibuée, tandis qu’une adepte des pays ensoleillés privilégiera une visière solaire efficace. La bonne approche consiste à lister ses priorités pour éviter de payer des options superflues.
Un casque bien homologué, dans un matériau de qualité et doté des options adaptées au quotidien, constitue le cœur d’une protection fiable. Le reste est affaire de style et de confort.
Confort et design : aligner le style casque moto avec sa personnalité et son usage
Un casque peut être techniquement irréprochable et pourtant rester au fond du placard si le confort casque moto n’est pas au rendez‑vous. La capacité à supporter le casque pendant une journée entière, sans mal de tête ni irritation de la peau, dépend d’une somme de détails : qualité des textiles, forme des mousses, circulation de l’air, pression exercée sur les joues. Pour une motarde qui enchaîne les kilomètres, ce confort est aussi important que la puissance de freinage de sa moto.
Les intérieurs démontables et lavables se sont largement démocratisés. Ils permettent de conserver un casque propre, même en cas d’utilisation quotidienne. C’est particulièrement appréciable pour les femmes sujettes aux peaux sensibles ou utilisant maquillage et produits capillaires. Certains fabricants proposent des tissus hypoallergéniques, respirants, avec des zones micro‑perforées pour mieux gérer la chaleur. Une motarde urbaine, qui roule en plein été sous un blouson textile, se sentira nettement mieux dans un casque capable d’évacuer la transpiration.
La ventilation fait partie des critères déterminants. Les entrées d’air au niveau du menton, du front et du sommet du crâne, combinées à des extracteurs à l’arrière, créent un flux utile pour éviter la buée et limiter la sensation d’étuve. Des curseurs faciles à manipuler avec des gants permettent d’adapter ce flux en fonction de la météo. Là encore, il est pertinent de réfléchir à ses habitudes : rouler beaucoup en ville à basse vitesse nécessite une ventilation différente de celle requise pour l’autoroute.
Le bruit est un autre aspect parfois négligé. Un casque mal insonorisé fatigue l’ouïe et la concentration à la longue. De nombreuses utilisatrices installent des bouchons d’oreilles, mais un bon dessin aérodynamique et des joints de qualité peuvent déjà réduire nettement les turbulences sonores. Une motarde qui pratique l’autoroute pour se rendre au travail gagnera beaucoup à choisir un modèle réputé silencieux.
Côté visuel, les possibilités ont explosé. Entre les coloris pastel, les graphismes géométriques, les finitions mates ou pailletées, chaque modèle casque femme raconte une histoire. Certaines préfèrent les tons sobres, noir mat ou blanc brillant, pour matcher avec n’importe quel équipement. D’autres optent pour des motifs floraux stylisés, des lignes racing ou des inspirations rétro, façon café racer. L’essentiel est que le design casque moto renforce l’envie de porter le casque, jour après jour.
Il est intéressant de noter la tendance à associer style et visibilité. De plus en plus de casques intègrent des éléments réfléchissants ou des couleurs vives pour renforcer la détection par les autres usagers, notamment la nuit. Une peinture fluo ou des stickers réfléchissants bien placés peuvent participer à la sécurité sans alourdir la silhouette.
Accessoires moto femme : optimiser l’usage quotidien de son casque
Une fois le casque choisi, certains accessoires moto femme permettent d’aller plus loin dans la personnalisation et le confort. Il peut s’agir d’éléments purement pratiques ou d’ajouts plus esthétiques, selon les priorités.
- 🌞 Écran solaire interne : indispensable pour celles qui roulent souvent en plein soleil, il évite de jongler avec des lunettes de soleil sous le casque.
- 🌫️ Film antibuée (type Pinlock) : un allié précieux par temps froid ou pluvieux, surtout pour les trajets quotidiens domicile‑travail.
- 🎧 Intercom : utile pour communiquer avec un passager, un groupe, ou écouter un GPS ; à installer de préférence sur un casque pré‑équipé.
- 💇♀️ Sous‑casque ou cagoule : améliore l’hygiène, garde la tête au chaud en hiver, et préserve la coiffure.
- ✨ Stickers et éléments décoratifs : ajoutent une touche personnelle, parfois réfléchissante, tout en rendant le casque plus identifiable.
Ces accessoires, bien choisis, prolongent la durée de vie du casque et renforcent le plaisir d’utilisation. Une motarde qui a soigné ce “second cercle” d’équipement se sentira à la fois mieux protégée et plus en phase avec son image sur la route.
Un casque confortable, assorti à la moto et au reste de l’équipement, devient un véritable compagnon de route, et non une simple obligation légale.
Choisir casque moto selon les situations : trajet urbain, voyage, sport ou duo
La réflexion ne s’arrête pas à la morphologie et au style. Un même casque ne répond pas forcément à tous les scénarios de conduite. Adapter le choix de son casque moto femme à ses usages concrets maximise à la fois la sécurité et le plaisir. Pour illustrer ces arbitrages, le parcours d’une motarde fictive, Camille, 32 ans, permet de passer en revue plusieurs cas de figure.
Camille habite en périphérie d’une grande ville et roule quotidiennement en moto pour se rendre au travail. Pour ces trajets mêlant périphérique, embouteillages et parkings souterrains, elle privilégie un casque intégral compact, bien ventilé et équipé d’un écran antibuée. Sa priorité : arriver fraîche et concentrée, sans passer son temps à essuyer la visière ou à supporter un bruit excessif dans les bouchons. Le look reste sobre, pour passer facilement du parking au bureau.
Le week‑end, Camille part souvent en balade avec des amis, parfois en duo avec son compagnon. Pour ces sorties plus longues, un modulable haut de gamme lui a longtemps fait de l’œil. La possibilité de relever la mentonnière lors des pauses, de parler facilement avec le passager, ou de se rafraîchir à l’arrêt, est très attractive. Après plusieurs essayages, elle a fini par trouver un modèle équilibré, à la fois silencieux en position fermée et pratique à manipuler avec des gants.
Lorsqu’elle envisage un grand voyage, sur plusieurs jours, Camille réfléchit différemment. La réduction du poids redevient prioritaire, car la fatigue de la nuque s’accumule vite sur 500 ou 600 km. Elle se tourne alors vers un intégral en fibre composite, avec un confort casque moto premium, des mousses morpho‑adaptatives et une ventilation pensée pour alterner montagnes fraîches et zones plus chaudes.
Pour des séances ponctuelles sur piste, la donne change encore. Le niveau de sécurité moto femme exigé par les organisateurs oriente vers un intégral racing, très enveloppant, avec boucle double D et écran parfaitement verrouillable. La déco est ici plus agressive, inspirée des casques de pilotes, et le bruit passe parfois au second plan par rapport à la stabilité à haute vitesse.
Quant à ses trajets purement urbains, en soirée, sur un petit roadster, Camille apprécie parfois un jet bien fini, assorti à une tenue plus décontractée. Elle sait néanmoins qu’elle y perd en protection du menton et adapte sa conduite en conséquence, en choisissant des routes moins rapides et en étant particulièrement vigilante.
Éviter les erreurs fréquentes lors de l’achat d’un casque moto femme
Certains pièges reviennent régulièrement dans les témoignages d’utilisatrices. Les connaître permet de les éviter plus facilement :
- 💸 Choisir uniquement en fonction du prix : un casque d’entrée de gamme peut convenir pour débuter, mais il faut au minimum vérifier l’homologation et la qualité de la jugulaire.
- 🎨 Céder d’abord à un design coup de cœur : tomber amoureuse d’un motif avant d’essayer le casque peut conduire à accepter un ajustement médiocre.
- 📦 Acheter sans essayage : même avec un bon guide des tailles, l’ergonomie interne varie énormément selon les marques.
- ⏱️ Ne pas garder le casque assez longtemps en tête lors de l’essai : certaines douleurs apparaissent après plusieurs minutes seulement.
- ⌛ Conserver trop longtemps un casque ancien : au‑delà de cinq ans, même sans choc, les matériaux vieillissent et la protection diminue.
Un achat réfléchi, avec temps d’essai, comparaison et prise d’avis, évite ces désillusions et garantit un équipement réellement adapté à la pratique de la motarde.
Entretien, durée de vie et retours d’expérience : faire durer son casque moto femme
Un casque moto femme bien choisi mérite une attention régulière pour conserver toutes ses qualités. La durée de vie moyenne d’un casque se situe autour de cinq ans, mais ce chiffre varie selon l’intensité d’utilisation, les conditions climatiques et l’entretien apporté. Un équipement quotidien exposé au soleil, à la pluie et aux variations de température vieillira plus vite qu’un casque porté seulement le week‑end.
Le nettoyage de l’extérieur doit être effectué avec de l’eau tiède et un savon doux, en évitant les solvants agressifs qui pourraient attaquer la peinture ou la calotte. Un chiffon microfibre permet d’éliminer moustiques et poussière sans rayer l’écran. Pour l’intérieur, les mousses démontables se lavent à la main ou selon les indications du fabricant, puis sèchent à l’air libre, à l’écart des sources de chaleur directe. Cette routine maintient le confort casque moto et limite les odeurs.
Il est également conseillé de ranger le casque dans une housse, à l’abri du soleil et de l’humidité. Le poser systématiquement sur le rétroviseur ou le guidon peut créer des contraintes inutiles sur la mousse interne et sur la jugulaire. Un simple support mural ou une étagère stable suffisent à préserver son intégrité.
Les signes de fatigue d’un casque sont assez faciles à repérer : intérieur qui se tasse fortement, maintien moins ferme, jugulaire qui commence à montrer des signes d’usure, visière rayée ou microfissures visibles. À ce stade, la protection n’est plus optimale. Même sans accident, un renouvellement s’impose pour garantir une sécurité moto femme cohérente avec la puissance des motos actuelles et la densité du trafic.
Retours d’utilisatrices : ce que les motardes apprécient vraiment
Les témoignages de motardes recueillis ces dernières années convergent sur plusieurs attentes fortes. La priorité absolue reste la légèreté, surtout pour les petites morphologies. Nombre d’entre elles décrivent la différence ressentie en passant d’un polycarbonate d’entrée de gamme à une coque composite plus légère : douleurs de nuque réduites, meilleure endurance, moins de crispation sur le guidon.
La qualité de la ventilation arrive juste derrière. Celles qui roulent en toutes saisons insistent sur le confort que procure un flux d’air bien géré, évitant la buée le matin et la surchauffe l’après‑midi. Le retour est particulièrement enthousiaste pour les casques bien pensés au niveau des canaux internes, même lorsque les ouvertures extérieures semblent discrètes.
Enfin, le design casque moto et la possibilité d’exprimer sa personnalité comptent de plus en plus. Des utilisatrices racontent comment un casque assorti à leur moto, à leurs gants ou à leur blouson a renforcé leur confiance et leur plaisir de rouler. Certaines ont même créé un “rituel” autour de la mise en place du casque avant chaque sortie, comme un signal de passage en mode route.
Beaucoup soulignent également l’importance du service après‑vente : disponibilité des pièces de rechange (visières, écrans intérieurs, mousses), facilité à trouver des accessoires moto femme compatibles, réactivité en cas de souci. Choisir une marque réputée pour ce suivi offre une tranquillité supplémentaire.
Un casque bien entretenu, choisi avec soin et validé par l’expérience d’autres motardes, devient alors un véritable allié, capable d’accompagner des milliers de kilomètres en toute sérénité.
Comment savoir si un casque moto femme est à la bonne taille ?
La bonne taille se vérifie en combinant mesure du tour de tête et essayage. Le casque doit serrer de façon homogène sans créer de douleur localisée, rester stable quand vous bougez la tête, et ne pas pouvoir être retiré sans ouvrir la jugulaire. Les mousses peuvent sembler un peu fermes au début : elles se tassent légèrement après quelques heures d’utilisation, sans jamais entraîner un jeu excessif.
Un casque de moto pour femme protège-t-il mieux qu’un casque dit unisexe ?
La protection dépend surtout de l’homologation, des matériaux et de la qualité de fabrication, plus que de l’étiquette ‘femme’ ou ‘homme’. Les modèles dédiés aux femmes se distinguent surtout par une ergonomie interne mieux adaptée à certaines morphologies (joues plus fines, front différent), ce qui améliore le maintien. Un casque unisexe peut convenir parfaitement si la forme interne correspond bien à votre tête.
Quelle est la durée de vie moyenne d’un casque moto femme ?
La plupart des fabricants recommandent de remplacer un casque tous les cinq ans environ, même sans choc important. Les mousses se tassent, les matériaux vieillissent, les joints perdent en efficacité. En cas de chute avec impact sur la calotte, il est prudent de le remplacer immédiatement, même si les dommages ne sont pas visibles.
Peut-on acheter son casque moto femme uniquement en ligne ?
L’achat en ligne est possible, mais il est préférable d’avoir au moins une expérience d’essayage en magasin pour connaître sa taille et la forme de tête qui correspond aux différentes marques. En ligne, il faut bien consulter les guides de tailles, vérifier les avis d’utilisatrices et s’assurer que les retours sont faciles en cas de problème d’ajustement.
Quels accessoires moto femme sont vraiment utiles pour le casque ?
Les accessoires les plus utiles sont l’écran antibuée (type Pinlock), une visière solaire interne ou externe selon votre usage, une housse de protection, et éventuellement un intercom si vous roulez souvent en duo ou en groupe. Un sous-casque fin peut aussi améliorer l’hygiène et le confort thermique, surtout si vous utilisez votre casque tous les jours.
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